
Je pensais que les Fetes seraient difficiles, mais ce n'est pas le cas. Oui, j'aurais aimé qu'il soit là en personne, mais je ressens sa présence dans mes enfants et ca, ca me soulage.
Non, ce que je trouve le plus difficile, ce sont les petites choses: quand les enfants font qqch que je sais qu'il aurait aimé voir; quand je vois un gros pot de pistaches, qqch qu'il adorait manger; et, bizarrement, le fait qu'il ne connaitra pas la fin d'Amos Daragon. Vous voyez, quand Caro m'a suggéré de lire cette série, j'ai demandé à papa s'il me les emprunterait à la bibliothèque. Avant qu'il puisse me les donner, il avait commencé à les lire et il est resté accroché. C'est donc devenu une tradition pour nous: dès que les nouveaux volumes sortaient, il les empruntait, les lisait, puis me les donnait. Pour une raison quelconque, je trouve ca triste qu'il ne connaitra pas la fin. C'est minime, mais souvent ce sont les plus petites choses qui nous touchent le plus... Je suis heureuse, par contre, d'avoir pu partager cela avec lui.
Oui, en ce dernier jour de l'année 2006, je pense à mon père. Mon premier amour. Mon plus grand fan. Je t'aime papa!!
2 comments:
C'est super touchant ce que tu écris Claude. C'est vrai que c'est souvent dans les petites choses que les êtres chers nous manquent le plus.
(((((hugs)))))
Tellement touchant!!!
Je te comprends tout à fait, tu sais... c'est vraiment dans les petites choses que ça fait le plus de peine. Je trouve ca drôle que tu parles d'Amos, parce que c'est à ce genre de choses que je pense aussi, et que dernièrement, je me demandais si ton père avait eu le temps de lire le dernier livre (parce que la série est terminée, Stéphane a le dernier livre depuis cet automne)...
C'est une superbe photo de ton père, ça... wow!
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